A partir de la problématique soulevée par les images, la discussion informelle instaurée a permis d’identifier des besoins locaux qui sont des obstacles quotidiens aux communautés.
Les points récurrents étaient le besoin d’assainissement, l’approvisionnement en eau potable (tous les villages n’ont pas accès a une pompe proche) et le problème de l’isolement des communautés déplacées après le tsunami pour être relogées. Leur nouveau lieu de vie est mal desservi par les transports publics et les établissements publics (écoles, hôpitaux, pharmacies) sont aussi plus éloignes.
Ces séance de projection ont été accompagnées d’un atelier de marionnette pour les enfants. Cette activité qui s’est étalée sur un mois, a permis aux jeunes de s’exprimer sur le tsunami et, espérons, de diminuer le traumatisme psychologique qu’il a engendre chez certains. Cet atelier était réalise par l’association française « les enfants de l’Art ».
La projection de documentaires va se poursuivre dans le district de Kanyakumari, deuxième zone d’intervention pour A&D